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On les a attendues, on en a rêvé : Les 1/8 de finales de la Champion's League ont fait leur retour ! Comme toujours, on ne peut qu'être admiratif du rythme, de la qualité technique des joueurs à partir de ce stade de la compétition, surtout quand toi, tu vois la qualité de tes matchs en district. Bon, si t'as pas encore compris que si t'avais pas Be In Sport, t'es has been, on te fait un point sur ces "huitièmes".

Arsenal et le Celtic, les intrus.
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Si on veut s'amuser à comparer Arsenal, c'est comme cette fille au collège dont tous les garçons fantasmaient , et qui 10 ans plus est devenue la fille la plus banale qui soit. Il y a encore peu, les Gunners vendaient du rêve : Du Vieira, du Henry, du Bergkamp, un rouleau compresseur craint sur la scène europèenne... Désormais le club de notre cher Arsène est presque devenu un club banal d'Angleterre.
Complètement asphyxiés par la machine Bavaroise, les Anglais semblaient en dessous de tout. Avec une défaite 3 à 1 à domicile, autant dire que les carottes sont cuites, même cramées.

Tout le Celtic Park croyait à un deuxième exploit contre la Juve. Mais bon, avec les italiens, et on ne rigole pas quand il s'agit de faire un résultat. Nullement impressionnée par l'ambiance des tribunes, la Juve refroidit les petits bonhommes verts en à peine 3 minutes. A partir de là, tout devient bien trop compliqués pour les Ecossais lorsqu'ils doivent faire le jeu, et pas franchement aidés par leur défenseur nigérian Embrose (sans doute pas remis des murges après sa victoire lors de la CAN). La Juve déroule, et propose une addition "salée-poivrée-épicée-sucrée" au Celtic : une défaite 3 à 0 dans leur antre.

Les clubs espagnols au plus mal.
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Les espagnols se présentaient en force lors de ces 8e de finales, avec 4 clubs. Cependant aucun n'a finit victorieux des matchs allées. Tout d'abord le Real, bien que dominateur lors de son opposition face à MU, n'as pu repartir victorieux de Bernabeu, avec ce score nul 1 à 1 (à noter, la détente Superman de CR7 sur le but). Le match retour s'annonce bien compliqué à Old Trafford pour les Merengues. Il faudra allumer bien plus que des cierges dans tout Madrid, parce que l'emporter à Manchester, cela tient du miracle.

En regardant le match de Malaga au stade du Dragon de Porto, une seule question pouvait en ressortir : "MAIS COMMENT, COMMENT CE CLUB A T-IL PU ATTEINDRE LES 8e !?" et franchement, c'est à peine exagéré. Incapable d'aligner deux passes de suites, encore moins de jouer dans les 40 derniers mètres adverses, c'est un véritable "exploit" que le club andalou reparte avec une si petite défaite (1 à 0) tellement Porto était supérieur. Ce résultat pouvait, d'ailleurs, presque avoir un goût amer pour les portugais, tant ils ont dominés les débats et avec autant d'occasions. Attention au match retour à la Rosaleda, où jouer là bas, est tout, sauf une partie de plaisir, le Real en a fait les frais, il y a quelques semaines.

En France, le match face à Valence, qui plus est, à Mestella, était vu comme un véritable test pour le PSG. Autant le dire tout de suite : les Parisiens ont donnés une véritable leçon de football à des Valencians ne trouvant aucune solution. Avec un esprit un peu plus tueur, le club de la Capitale auraient pu planter deux, voire trois buts de plus au FC Valence. Cette défaite 2 à 1 à domicile des espagnols sera un lourd handicap pour le match retour, au Parc des Prince.

Le Barça semblait imbattable, injouable que ce soit en championnat ou en Champion's League, le Milan allait en chier, c'était prédit. Alors, oui les Barcelonais savent très bien faire tourner le ballon, que le controle-passe, ils maitrisent. Cependant ce qui ressort de ce match, c'est que les Blaugranas ne savent plus se transcender lorsqu'ils doivent aller chercher un résultat. Les Rossoneros, bien que recroquevillés dans ses 30 derniers mètres, mettaient une determination, une envie à leur moindre opportunité. Avec un Valdes toujours aussi peu décisif, le Barça prend un gros coup sur la tête, un méchant crochet du gauche, qu'il n'a pas vu venir. Les Catalans ne sont pas encore KO, mais il faudra montrer un autre état d'esprit au match retour, au Camp Nou pour remonter cette défaite, 2 à 0.

Dortmund et Shalke04 s'en sortent bien.

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Franchement, aller jouer à Galatasaray, quand on est l'adversaire, c'est un véritable enfer. Une ambiance, une atmosphère tellement pesante, qu'il faut être plus que costaud mentalement pour en ressortir indemme. Shalke, a eu chaud, très chaud, en plus mené 1 à 0, les allemands ont trouvés les ressources pour revenir de Turquie avec un match nul qui ne pourra faire la différence au Veltins-Arena.

Enfin, Dortmund à eu toutes les peines du monde face au Shakhtior Donetsk (équipe bien trop sous coté sur la scène europèenne). Dans le froid polaire ukrainiens, les allemands s'en sortent très bien et peuvent remercier Matt Hummels pour ce but égalisateur dans les toutes dernières minutes. Avec ce score nul (2 à 2) à l'arraché, le Borussen repart avec un leger avantage pour ce match retour.

José




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